La famille des Groseilliers ne renferme qu’un seul genre. Elle est intermédiaire entre les saxifrages et les cierges. Elle diffère des saxifrages par son fruit en baie et ses graines pariétales, et des cierges par le nombre défini de ses pétales et de ses étamines.
Elle se compose d’arbrisseaux qui croissent spontanément dans tous les pays, principalement dans les parties du nord de l’Europe.
On les trouve sauvages dans les haies, sur les vieilles murailles, les troncs d’arbres abandonnés, les montagnes, et dans les vallées. Parfois ils sont munis d’épines très acérées ; souvent ils en sont privés. Les fleurs dans ces derniers sont axillaires, disposées en grappes ; elles sont solitaires ou géminées dans les espèces épineuses.
Les botanistes ont considéré, pour la description de cet arbrisseau,
1°. Les tiges et leurs rameaux ;
2°. Les épines ;
3°. Les feuilles et leur pétiole ;
4°. Les fleurs, les pédoncules, les bractées et les enveloppes florales qui les accompagnent ;
5°. Enfin les fruits.
Nous passerons successivement en revue ces organes divers.
1°. Le Groseillier s’élève naturellement en un buisson touffu à la hauteur de trois ou quatre pieds. Ses tiges sont grêles, rameuses et divergentes ; elles n’acquièrent jamais une grande dimension, parce que dans l’état sauvage elles périssent promptement par les lichens ou la mousse, et que dans nos jardins, la taille nécessite le retranchement du vieux bois pour leur conservation...
Elle se compose d’arbrisseaux qui croissent spontanément dans tous les pays, principalement dans les parties du nord de l’Europe.
On les trouve sauvages dans les haies, sur les vieilles murailles, les troncs d’arbres abandonnés, les montagnes, et dans les vallées. Parfois ils sont munis d’épines très acérées ; souvent ils en sont privés. Les fleurs dans ces derniers sont axillaires, disposées en grappes ; elles sont solitaires ou géminées dans les espèces épineuses.
Les botanistes ont considéré, pour la description de cet arbrisseau,
1°. Les tiges et leurs rameaux ;
2°. Les épines ;
3°. Les feuilles et leur pétiole ;
4°. Les fleurs, les pédoncules, les bractées et les enveloppes florales qui les accompagnent ;
5°. Enfin les fruits.
Nous passerons successivement en revue ces organes divers.
1°. Le Groseillier s’élève naturellement en un buisson touffu à la hauteur de trois ou quatre pieds. Ses tiges sont grêles, rameuses et divergentes ; elles n’acquièrent jamais une grande dimension, parce que dans l’état sauvage elles périssent promptement par les lichens ou la mousse, et que dans nos jardins, la taille nécessite le retranchement du vieux bois pour leur conservation...