Le DSM-5 est le fruit de 12 années de travail impliquant des centaines d'experts internationaux dans tous les domaines de la santé mentale.
Cet ouvrage de référence propose une classification des troubles mentaux, tous décrits de façon claire, concise et systématique.
Ce qui est nouveau dans le DSM-5 :
- Les troubles apparus dans l'enfance sont pris en compte dans une perspective développementale et longitudinale, ce qui aboutit à un chapitre sur les troubles neurodéveloppementaux et à la définition d'un « trouble du spectre de l'autisme ».
- De nombreux chapitres sont nouveaux ou profondément remaniés tels que ceux sur les troubles de l'humeur du DSM-IV scindés en troubles bipolaires et troubles dépressifs, les troubles obsessionnels-compulsifs et les troubles liés à des traumatismes ou à des facteurs de stress qui sont distingués des troubles anxieux, les troubles neurocognitifs qui intègrent des paramètres issus des recherches biologiques récentes.
- D'autres chapitres évoluent significativement pour ce qui est de la définition des troubles qui les composent, sans changer d'intitulé, tels les troubles disruptifs, du contrôle des impulsions et des conduites, les troubles bipolaires, la schizophrénie, les troubles dissociatifs, les dysfonctions sexuelles, les troubles à symptomatologie somatique.
- Des troubles nouveaux apparaissent dans la classification principale, tels que le trouble de la communication sociale (pragmatique), le trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle, le sevrage du cannabis, les accès hyperphagiques, le sevrage de la caféine, la thésaurisation pathologique, la dermatillomanie, le jeu d'argent pathologique.
- Une attention particulière est portée aux dimensions symptomatiques, qui transcendent parfois les frontières des catégories diagnostiques, comme l'évaluation dimensionnelle de la sévérité des symptômes psychotiques par le clinicien et le modèle alternatif pour les troubles de la personnalité dans la section III du DSM-5.
En outre, l'organisation des chapitres du DSM-5 a été conçue pour être compatible avec la future CIM-11, sachant que le DSM-5 permet d'enregistrer les diagnostics avec les codes actuels de la classification internationale des maladies de l'OMS (CIM-10).
Cet ouvrage, destiné à tous les professionnels concernés par la santé mentale, reste une référence incontournable en France comme au niveau international.
Cet ouvrage de référence propose une classification des troubles mentaux, tous décrits de façon claire, concise et systématique.
Ce qui est nouveau dans le DSM-5 :
- Les troubles apparus dans l'enfance sont pris en compte dans une perspective développementale et longitudinale, ce qui aboutit à un chapitre sur les troubles neurodéveloppementaux et à la définition d'un « trouble du spectre de l'autisme ».
- De nombreux chapitres sont nouveaux ou profondément remaniés tels que ceux sur les troubles de l'humeur du DSM-IV scindés en troubles bipolaires et troubles dépressifs, les troubles obsessionnels-compulsifs et les troubles liés à des traumatismes ou à des facteurs de stress qui sont distingués des troubles anxieux, les troubles neurocognitifs qui intègrent des paramètres issus des recherches biologiques récentes.
- D'autres chapitres évoluent significativement pour ce qui est de la définition des troubles qui les composent, sans changer d'intitulé, tels les troubles disruptifs, du contrôle des impulsions et des conduites, les troubles bipolaires, la schizophrénie, les troubles dissociatifs, les dysfonctions sexuelles, les troubles à symptomatologie somatique.
- Des troubles nouveaux apparaissent dans la classification principale, tels que le trouble de la communication sociale (pragmatique), le trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle, le sevrage du cannabis, les accès hyperphagiques, le sevrage de la caféine, la thésaurisation pathologique, la dermatillomanie, le jeu d'argent pathologique.
- Une attention particulière est portée aux dimensions symptomatiques, qui transcendent parfois les frontières des catégories diagnostiques, comme l'évaluation dimensionnelle de la sévérité des symptômes psychotiques par le clinicien et le modèle alternatif pour les troubles de la personnalité dans la section III du DSM-5.
En outre, l'organisation des chapitres du DSM-5 a été conçue pour être compatible avec la future CIM-11, sachant que le DSM-5 permet d'enregistrer les diagnostics avec les codes actuels de la classification internationale des maladies de l'OMS (CIM-10).
Cet ouvrage, destiné à tous les professionnels concernés par la santé mentale, reste une référence incontournable en France comme au niveau international.