Été 42. Dans un Paris occupé par les Allemands, Jacques Poulain et Myriam Apfelbaum habitent le même immeuble, lui avec son père magicien, elle avec sa mère couturière. Âgés de onze ans, ils vivent, complices, dans l’insouciance de l’enfance. Mais lorsque la mère de Myriam est arrêtée et déportée, Jacques découvre brutalement que porter une étoile n’est pas un jeu en temps de guerre. Il se jure de protéger son amie coûte que coûte, jusqu’à se mettre lui-même en danger…
Commence alors un long périple pour les deux adolescents : ils se cachent dans un village au-delà de la ligne de démarcation. Myriam, aux yeux de tous, est devenue Marie Poulain, sœur jumelle de Jacques. Sur le point d’être découverts, Jacques et Myriam s’enfuient à nouveau, cette fois pour la zone d'occupation italienne. Mais le sort s’acharne sur les deux amis…
Roman d’apprentissage et d’exil, ce récit bouleversant d’une profonde amitié nous entraîne aux limites de l’imaginable. Avec Jacques, le lecteur fait face à la cruelle réalité qui détruit toute la fraîcheur de l’enfance. Serge Rubin aborde le thème sensible du sort des enfants sous l’Occupation avec finesse et douceur, sans édulcorer la dureté des faits. On sourit devant les jeux et les ruses de Jacques et Myriam, on pleure avec eux lorsqu’ils sont séparés de leurs parents, on tremble lorsqu’ils sont traqués par les Allemands… Un livre prenant, palpitant, qui ne pourra laisser personne indifférent.
Commence alors un long périple pour les deux adolescents : ils se cachent dans un village au-delà de la ligne de démarcation. Myriam, aux yeux de tous, est devenue Marie Poulain, sœur jumelle de Jacques. Sur le point d’être découverts, Jacques et Myriam s’enfuient à nouveau, cette fois pour la zone d'occupation italienne. Mais le sort s’acharne sur les deux amis…
Roman d’apprentissage et d’exil, ce récit bouleversant d’une profonde amitié nous entraîne aux limites de l’imaginable. Avec Jacques, le lecteur fait face à la cruelle réalité qui détruit toute la fraîcheur de l’enfance. Serge Rubin aborde le thème sensible du sort des enfants sous l’Occupation avec finesse et douceur, sans édulcorer la dureté des faits. On sourit devant les jeux et les ruses de Jacques et Myriam, on pleure avec eux lorsqu’ils sont séparés de leurs parents, on tremble lorsqu’ils sont traqués par les Allemands… Un livre prenant, palpitant, qui ne pourra laisser personne indifférent.