Valérian et Laureline sont dans la mouise. Ex-agents spatio-temporels échoués sur Rubanis, ils n'ont pas les sept cent mille bloutoks qu'on leur réclame pour réparer leur astronef. Mais justement, le colonel Tlocq, chef de la police (pourrie) de cette planète (pourrie) leur propose un petit boulot : aller voir dans le cercle du pouvoir qui commande, dans cette pagaille généralisée. Qui, ou quoi ?
Ils mènent donc leur enquête dans un paysage des plus désordonnés. Les banquiers déprimés sautent par les fenêtres, une espèce de walkyrie crétinise les gens à coups de fouet paralyseur, un indic trouillard refile des renseignements usagés, tandis que les Shingouz - vous savez, ces "petits bipèdes avec une trompe un peu humide" - passent leur vie à calculer leur pourcentage. Quant aux aristopatrons, ils se sont fait réduire la tête et leur cerveau en a visiblement pris un coup. Bref, tout va mal. Sans compter ce voyou de chauffeur de limouzingue qui drague ouvertement Laureline... Seul le transmuteur grognon de Bluxte fait son boulot correctement - en rouspétant, bien sûr.
Action trépidante, invention, visions hallucinées du foutoir urbain, silhouettes et trognes impayables : le moins qu'on puisse dire, c'est qu'on ne s'ennuie pas, avec ce quinzième épisode de Valérian qui finit d'ailleurs très bien - dans une débauche de saphirs de Scunindar, de bloutoks et de perles d'Ebébé... sur lesquels les Shingouz prennent évidemment 10%.
Ils mènent donc leur enquête dans un paysage des plus désordonnés. Les banquiers déprimés sautent par les fenêtres, une espèce de walkyrie crétinise les gens à coups de fouet paralyseur, un indic trouillard refile des renseignements usagés, tandis que les Shingouz - vous savez, ces "petits bipèdes avec une trompe un peu humide" - passent leur vie à calculer leur pourcentage. Quant aux aristopatrons, ils se sont fait réduire la tête et leur cerveau en a visiblement pris un coup. Bref, tout va mal. Sans compter ce voyou de chauffeur de limouzingue qui drague ouvertement Laureline... Seul le transmuteur grognon de Bluxte fait son boulot correctement - en rouspétant, bien sûr.
Action trépidante, invention, visions hallucinées du foutoir urbain, silhouettes et trognes impayables : le moins qu'on puisse dire, c'est qu'on ne s'ennuie pas, avec ce quinzième épisode de Valérian qui finit d'ailleurs très bien - dans une débauche de saphirs de Scunindar, de bloutoks et de perles d'Ebébé... sur lesquels les Shingouz prennent évidemment 10%.